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Après le Second Empire, sous la Troisième République, nos fantassins en uniforme bleu, pantalon rouge et guêtres blanches, furent surnommés Pitous dans le langage populaire, lorsque l'on voulait désigner les niais, les naïfs et autres mal dégrossis, tous ceux à qui l'on faisait croire n'importe quoi. 
Objets de caricatures, ces Pitous firent les beaux jours des fabriquants de cartes postales humoristiques dont Albert Bergeret, le célèbre imprimeur de cartes postales nancéen.
Dans les cartes ci-dessous, il nous montre Pitou qui espère recevoir un mandat de la part de ses parents. Déception, à la place, c'est une lettre de conseils qui lui arrive.

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