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Afin de compléter le réseau des trains à voie métrique qui ne couvre pas l'ensemble du département, le Morbihan développe le transport routier. En 1921, il choisit la La Compagnie Générale d'Entreprises Automobiles  (CGEA), société parisienne filiale des automobiles industrielles Latil, pour une concession de 10 ans, afin de désenclaver les secteurs de l'intérieur du département .


 D'abord de Locminé à Redon puis de nouvelles lignes d'autobus subventionnées ouvrent progressivement, partant toujours d'une commune desservie par une voie ferrée. Les horaires concordent avec ceux des chemins de fer. De nombreux particuliers propriétaires d'automobiles profitent de subventions afin de devenir transporteurs de personnes (les ancêtres de nos taxis). On y associe le transport du courrier.


Ce système va progressivement amener à la disparition du tramway des CM, vieillissant, lent, peu confortable et mal entretenu.

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