Sur les souhaits de Vauban, l’ingénieur Siméon Garangeau construit une tour à feu de 15 m de hauteur sur le Cap Fréhel, en 1702. Tour cylindrique accolée à une tourelle demi cylindrique en pierre maçonnée, ce phare fonctionne tout d’abord au charbon puis à l’huile végétale.

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En 1847, Léonce Reynaud construit à côté une tour octogonale de 22 m de haut, équipée d’une lentille de Fresnel fonctionnant à l’huile minérale et, plus tard, aux vapeurs de pétrole. Sous l’occupation, le phare devient un poste d’observation militaire, il sera dynamité en 1944 et seule la vieille tour Vauban restera debout.

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Il faudra attendre 1950 pour que soit édifié le phare actuel.